La gerbe...
Sous ce titre joyeux, soyeux, poétique, printannier malgré la saison, doux rêveur, innovant et pourtant mélancolique (avouez que personne ne pensait que mes titres étaient si réfléchis!) ne se cache non pas un superbe tableau de Matisse qui décorait le restaurant universitaire à Paris (le parallèle avec le contenu des assiettes était quand même admirablement bien choisi) mais un paradoxe.
Pourquoi sont-ce les choses que j'aime le plus qui me fouttent le plus la gerbe?
Ceux qui pensent que j'ai tant mangé que j'ai tout rendu peuvent sortir merci, c'est une honte de penser cela de moi! Quand même! Tout le monde sait que je peux manger, je rendrais gorge avant de rendre une miette.
Bref, ce que j'affectionne et désire souvent le plus est aussi ce qui me me le plus la gerbe.
Je vais y réfléchir, ça tombe bien je n'avais pas grand chose à faire. Et puis merde si, j'avais des trucs à faire mais je dispose de ma puissance mentale comme je l'entends!