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La vie dans les champs de carottes bleues
14 février 2005

Ma vie est une farce...qui ne fait rire que moi... marre


Si j'étais un auteur de théatre je n'aurais pas vraiment à chercher mon inspiration loin pour écrire une farce totalement surréaliste avec des effets comiques à la pelle et des rebondissements sans fin. Cela relèverait de la plus grande simplicité, il suffirait que je m'auto-observe (si tant est que je puisse soutenir longtemps cette vision). Le problème est que la farce que constitue ma vie ne fait rire que moi. Et, pire encore (là on s'apreoit qu'on est au fond) il est des moments où ça ne me fait même plus rire. Qure faire dans de tels moments? J'ai quelques solutions mais qui ne sont pas transposables à d'autres personnes, il est donc innutile que je vous en fasse profiter.
Il s'avère en fait (non, bande de gnous, je ne passe pas du coq à l'ane) que je viens de provoquer une peine sans nom et sans dimension à une personne qui non seulement ne le mérite pas mais en plus à qui c'est bien la dernière chose que je voudrais faire. Tout cela grace un merveilleux quiproquo (qui, je le rapelle pour les incultes vient du latin "qui pro quo" qui signifie à peu près "l'un à la place d'un autre") dont je n'aurais même pas su rêver dans mes plus sombres heures de complot machiavélique. Ce qui est (tout à fait égoïstement parlant) dramatique dans cela c'est que je n'ai mêem pas vu moi même la portée du double sens de ce que je disais. Avec ma fabuleuse habitude de parler dans le vague j'ai laissé des incertitudes sur les personnes dont je parlais. Et alors? Hé bien et alors pour moi c'est "il est terrible de s'apercevoir que ce que l'on dit se met subitement à nous échapper alors même que l'on pensait en être le farouche et insurpassable gardien. Mais d'un point de vue purement altruiste où est le problème? Il est à portée absolument gigantesque puisque non seulement, et j'en suis conscient, je viens de faire extrèmeent mal à quelque que j'hestime beaucoup. Mais qui plus est cela prouve que je ne suis qu'un propre à rien dans le seul domaine où je pensais avoir une esquisse de compétence. Bon, je sais on s'en fout. Mais voyez-vous, je commence à saturer de tout ça.
Je sais plus où h'en étais. Hé bien tant pis. Au risque de faire encore du mal à quelqu'un, je sais pas où dans le monde, je sais pas quand et je sais pas pourquoi et je crois qu'au fond je n'ai même pas envie de le savoir, je vais vous avouer franchement que ceci est une énorme FARCE. Je ne le conçois pas autrement. Ma vie est une farce. Les gens qui me connaissent un tant soit peu sauront en lisant cela que j'y attache une énorme importance et que j'en suis profondément navré. Car eux sauront que dire que quelque chose est une facre ne signifie pas forcément que l'on en rit ou s'en réjouit. Non, ceci est une farce d'un point de vue tout à fait neure et objectif et schez, bande de gnous, que faire du mal aux gens est loin d'être une farce ou un sujet léger dans ma bouche. Alors merde je ne vois même pas pourquoi je tente de m'expliquer, je suis chez moi et je dis ce que je veux. Que ceux qui m'ont compris, et les autres faites ce que vous voulez, recoivent mes plus chaleureux remerciments!
Pour ma part j'envoie en cet instant balader le monde, le gens, et tout ce qui y a trait de plus ou moins loin. Je ne garde que les chats et encore. Symbol d'entre les symbols de mon humeur joviale subséquente à cette farce j'abolie la liberté de parole en mon royaume. Qu'il en soit ainsi! Mais n'hasitez pas réagissez, hurlez et ejttez moi destomates! Elles glisseront sur moi et je ne manquerais pas d'en faire profiter le monde. J'abolie la liberté d'expression, je n'abolie en rien l'expression!
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Commentaires
D
^^' "petite" baisse de régime... Ecoute, ça ne va peut être pas te consoler, mais tu ne peux pas toujours savoir ce qui se passe dans la tête de celui à qui tu parles... Je ne pense pas que ce soit ta faute s'il t'ait compris de travers! Après tout, tu dis toi même que tu n'étais même pas conscient d'un double sens! Alors, c'est vrai que faire du mal à quelqu'un est toujours pénible, surtout lorsqu'on apprécie cette personne... mais je te le redis: ce n'est pas ta faute! Je te fais de gros bisous
La vie dans les champs de carottes bleues
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